Albert KAMDEM

Je n’oublierai jamais…

Je n’oublierai jamais cette nuit de mai encore vivante en moi. Ce croissant de lune à peine voilé par les nuages, ce doux vent qui me caressait la peau, et, Françoise devant moi. Elle n’était pas très jolie ; son visage manquait quelque chose qui l’aurait purifié comme un beau dessin aux traits négligemment esquissés et aux couleurs pâles. En réalité, je me sentais plus attiré par sa beauté intérieure, son intelligence, que par ce masque d’ébène aux traits grossiers qu’au plus profond de moi, je chérissais. Le secret de notre amitié résidait dans la profonde complicité qui s’était installée entre nous, cette étoile, volée au clair de lune, que j’avais cachée dans son cœur et que je contemplais chaque jour à travers ses beaux yeux.

Nous étions au sommet d’une colline. Le bruissement du vent taquinant le paysage donnait un tumulte confus, dans lequel, les feuilles mortes et les herbes fraîches faisaient entendre leurs voix. Françoise me regardait sans rien dire. Nous marchions main dans la main, insouciants, heureux. Nous brûlions de cette flamme incandescente des premiers amours, des premières passions, des premiers baisers. Je lui fis savoir que j’étais très gêné de marcher seul à travers les bois pour me rendre au lycée sans elle à mes cotés. Que son état de santé, plutôt triste, me donne de la peine. Elle commença une phrase qu’elle ne termine pas :

– Je…je suis…comment dire ?

– tu n’as rien à redouter, lui dis-je pour la rassurer, rien à craindre.

– je suis enceinte.

– …

Cette phrase résonna dans mon cœur comme une balle de fusil. Tel un éclair, la première solution qui traversa mon esprit, c’était l’avortement. En cette matière, les filles avaient autant de recettes que de jours dans l’année, autant d’armes pour ne pas succomber sous la foudre de la famille déshonorée. La majorité des adeptes de cette pratique en payait le prix de leur propre vie. Mais cela demeurait une issue de sortie quoique risquée.

Ma grande tentation, ce fut de procéder à la politique du blanchissage. En effet, lui proposer une solution pareille m’aurait aligné dans les rangs déjà très longs de ceux qui recouraient à cette pratique diabolique. L’heure était venue pour moi de prendre mes responsabilités. Même si j’avais trop bonne réputation pour devenir père de famille si tôt. Ma mère aurait laissé paraître sa surprise, et éclater sa colère en mille feux pour me consumer : David, qui t’a appris les choses de Satan ?

En réalité, si la sexualité était un sujet tabou pour les parents, il ne l’était pas pour nous. Ma mère ne se sentait pas à l’aise quand il était question de parler de ces « choses diaboliques » avec moi. Par conséquent, j’en faisais souvent le sujet principal de mes commentaires en compagnie des mes amis. Pour nous, c’était un moyen d’affirmer notre masculinité et notre puissance. Je pouvais me vanter d’avoir fait ça avec plusieurs filles, accablant de paroles désagréables, ceux qui prétendaient être abstinents dans le but d’être en accord avec certains principes moraux ou religieux. Ou par timidité.

J’avais 14 ans et Françoise 13. Mon imagination me jouait des tours et me faisait croire au pire. Et que rien finalement ne s’arrangerait. En réalité mes craintes avaient quand même raison d’être car son père n’était qu’un ivrogne. Sa femme était un tambour duquel il tirait mille et une harmonies au gré de ses fantaisies. Pourtant il n’aurait jamais tenu deux minutes devant un homme vigoureux de son âge. Jamais.

Alors que nous descendions de cette colline magnifique, c’est sûr que Françoise y pensait. A cet alcoolique, ce monstre qu’elle avait pour père. A nos folies, notre inconscience. Toutes les images, les souvenirs de sa vie agitée brillaient tels d’innombrables étoiles dans le ciel noir de sa pensée. Elle grelottait de froid et de frayeur. Son cœur battait la chamade. Si seulement il était possible d’effacer le passé et de tout recommencer à nouveau…

Pour m’extirper de ce trouble qui m’envahissait, Françoise me rappela tous nos souvenirs enfouis dans chaque pierre de cette route que nous empruntions quelques mois auparavant pour nous rendre à l’école, nos errances à travers les bois et les roses que nous avions cueillies au bord du chemin… Tout rejaillissait dans ma mémoire comme des feux d’artifices. Tous ces petits bonheurs ajoutaient une dose de nostalgie à mon cœur en proie à un malaise indescriptible. J’avais l’impression que rien ne serait plus jamais comme avant.

Comme nous arrivions déjà à ce petit carrefour qui donnait sur nos habitations respectives, elle se rapprocha un peu plus de moi, s’appuya sur mon épaule comme si elle manquait de force pour avancer, puis, se mit à pleurer doucement. Et comme j’essuyais, de mon mouchoir, les larmes qui dégoulinaient de ses yeux, elle se serra fort contre moi avec cet élan dans lequel je sentais que son amour la portait. Tout à coup, j’eus l’impression que la nature revêtit, comme par magie, mille parures féeriques. Et que ses couleurs devinrent éclatantes, vives, comme dans un beau rêve. Dans une ultime étreinte, je vis à travers ses yeux, un soleil éclatant d’amour dont je n’oublierai jamais les milles scintillements.

Cette nuit là, je ne pus dormir de la nuit. Fallait-il en parler à ma mère ? Que fallait-il faire ? Questions sans réponses. Mais quant à toi, Françoise, tu ne te posais pas ces questions. Tu n’étais pas chez tes parents cette nuit là, n’est-ce pas ? Tu t’es rendu à la rivière alors que nous venions de nous quitter. Pour en finir. Pour ne pas affronter la réalité. Tu t’es procuré un rayon de vélo. Tu as écarté les jambes. Et tu l’as enfoncé dans tes entrailles.

Et le matin, on t’a retrouvé là. Morte. Partie. Et moi tout seul.

Tout seul avec mes remords dans un monde dépeuplé, et même si aujourd’hui j’essaie de me reconstruire, je ne t’oublie pas. Non, jamais. Et je demande chaque jour à Dieu de me pardonner. Et de m’aimer. Comme moi je t’ai aimé.

 


Oui, le cancer peut être guérit.

Comment soigner de façon pratique et économique le cancer et dautres maladies, sans mutilations ni remèdes, sans effets collatéraux et sans sortir de chez soi.

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image libre de droit: pixabay.com

Le secret a été bien gardé pendant des siècles. Aujourd’hui, même si des milliers de personnes dans le monde en profitent, la plupart des gens n’en ont pas entendu parler.

Il s’agit  du plus formidable moyen mis à notre disposition par la nature pour soigner et guérir – même les maux les plus terribles dont nous puissions souffrir. Déjà des civilisations anciennes, comme la Grèce antique ou la Chine, en avaient pressenti les effets. Elles l’utilisaient pour certaines applications curatives, comme remède contre l’ulcère d’estomac, ou les problèmes intestinaux. Mais il a fallu attendre des recherches toutes récentes et le zèle du père Romano Zago pour donner à ce remède « miracle » toute sa valeur.

C’est véritablement surprenant. En lisant les comptes rendus de cas médicaux, on a peine à y croire : pourtant, cas après cas, d’après l’auteur, les preuves se sont accumulées au fil des années. J’ai pu moi-même le vérifier. Voici quelques-unes des applications dont je peux témoigner personnellement :

  • Aigreur ou acidité d’estomac
  • Rhumatismes
  • Constipation
  • paludisme
  • Sinusite
  • Pied d’athlète
  • Rhumes
  • Acné
  • indigestions
  • cancer…

Le secret de la recette :

Tout d’abord, je tiens à préciser que l’idéal serait de posséder des plantes d’aloès arborescens ou d’aloès Vera chez soi pour des raisons que je vous donnerais tout à l’heure. Ces plantes devront être âgées d’au moins 4 ans pour un résultat optimal.  Les plantes de moins de 2 ans ne sont pas recommandées car pas assez riche en principe actif…

Je vous propose de demander à votre fournisseur d’aloès Vera l’une de ses plantes les plus matures et fraichement déterrée avec toutes ses racines pour une transplantation chez vous. Si vous vivez en France, voici l’adresse d’un fournisseur de feuilles fraiches d’aloès arborescens : L’ILE AUX PLANTES, Route de Cholet – chemin de la Halbaudière. BP : 43 –  49 120 CHEMILLE – France. Tel : 02 41 30 21 93.

Le matin donc AVANT le lever du soleil ou le soir APRÈS son coucher (ces tranches horaires doivent être obligatoirement respectées ; je vous dirais pourquoi.) cueillir 4 feuilles d’aloès Vera, les laver et enlever les épines. Passer au mixeur en ajoutant 1 kilo de miel et 30 à 40 ml – l’équivalent d’une petite tasse de café- d’eau-de-vie (le cognac ou le citron pourrait bien aller à la place). Prendre deux cuillerées deux fois par jour pendant dix jours, puis suspendre le traitement pendant une semaine et continuer au même rythme jusqu’à guérison.

Toutefois pour mettre toutes les chances de votre coté, vous devez OBLIGATOIREMENT respecter à la lettre les sept recommandations ci-dessous :

  • Cueillir les feuilles quand il fait noir.
  • Après cinq jours de pluie.
  • Préparer la recette dans l’obscurité.
  • Exécuter les préparatifs aussitôt après la récolte.
  • Prendre le mélange dans l’obscurité.
  • Conserver le mélange au réfrigérateur dans une bouteille sombre de préférence de couleur verte ou marron clair.
  • Ne pas prendre à jeun mais de préférence avant ou entre les repas.

Attention : la raison pour laquelle on doit éviter la lumière solaire ou artificielle réside dans le faite que l’aloès contient une substance qui réagit au cancer et qui, au contact de la lumière solaire ou artificielle, perd automatiquement ses effets.

Vous n’êtes en aucun cas obligés de suspendre ou de renoncer aux traitements proposés par le médecin quant au cancer d’autant plus que cette recette naturelle atténue de manière très significative les effets secondaires ( chute de cheveux, amaigrissement…) de la radiothérapie/chimiothérapie en protégeant les cellules saines…

De plus, n’arrêtez JAMAIS le traitement sans la confirmation de guérison complète par votre médecin et cela, même si vous vous sentez en très en forme. Sinon les rechutes seront incroyablement agressives… et fatales !

Le père Zago Romano, auteur de l’ouvrage intitulé Du cancer on peut guérir atteste qu’en plus d’être très efficace contre le cancer, elle possède les applications curatives suivantes :

  • Fistule dans la gencive
  • Tonique capillaire, anti pelliculaire
  • Brûlures aux rayons X
  • Anti tétanique
  • Eczémas
  • Hémorroïdes
  • Anémie… la liste est longue, très longue !

Ne dites pas non, dites peut- être…

Si vous êtes sceptique, sachez que l’étais moi-même au début. Jusqu’à ce que je décide de prendre un flacon de cette préparation. Et que j’en donne à ceux qui en avaient besoin juste pour m’en convaincre de sa puissance. Alors j’ai eu des expériences extraordinaires si bien qu’aujourd’hui je considère cette recette comme une potion magique. Je pèse mes mots.

Si vous êtes intéressés par l’ouvrage fascinant du Père Romano Zago
« Du cancer on peut guérir » voici, pour ceux qui habitent en France, une liste de points de vente ou vous pourrez vous procurer cet ouvrage:
  • Etoile Notre Dame (53104)
  • Editions Resiac (53150)
  • Edition Saint Jean (Mr GUERING) (19220)
  • Vivre Naturel (22450)
  • Abbaye De Tamie (73200)
  • L’île aux plantes (31704)
  • Librairie Siloe Bellefontaine (49122)

A votre santé  !

David KAMDEM.

 

 

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